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Lanester


Du breton "lann-er-ster", la lande de la rivière. 
Troisième ville du Morbihan, Lanester dispose d'équipements de référence parmi lesquels l'espace culturel Jean-Vilar, la médiathèque ouverte en 2000, le cinéma multiplexe, le centre pour l'enfance de Saint-Niau, l'espace Cyberlan, le nouveau lycée Jean-Macé qui héberge le Théâtre des Deux Rivières.
Ville "aux deux poumons", Kerentrech et les Chantiers. Lanester a édifié un centre-ville à partir des années 1980, conforté par la construction de l'Hôtel de Ville en 1992.
 L'Arsenal a structuré la ville. Il concentre l'essentiel de ses activités sur la rive gauche du Scorff, côté Lanester. Lanester accueille de nombreuses entreprises sur 11 zones d'activités industrielles, artisanales ou commerciales.
 Lanester est la seule ville du Morbihan à proposer une filière bilingue français-breton de la maternelle au lycée.
 Côté campagne, le site remarquable du cimetière de bateaux de Kerhervy qui abrite le théâtre en plein air est une curiosité.

Un peu d'histoire : Une ville née de l'Arsenal 
Entourée par le Scorff et le Blavet, Lanester est à l'origine un pays de landes et de marécages. Des vestiges qallo-romains, découverts au bord du Blavet, témoignent de la présence de pêcheries dès le IIe et IIIe siècles. La reprise par la Marine Royale en 1790 de la Compagnie des Indes Orientales est à l'origine de la création de la ville. A partir de 1827-1829, les ateliers de construction se développent sur la rive gauche du Scorff. Appelés les "chantiers de Caudan" ils sont à l'origine du quartier ouvrier des Chantiers. De 1847 à 1852, la marine en rade de Lorient est en plein essor et voit la construction sur le Scorff du Parc à Bois de St Isidore, pour conserver les bois et les rendre imputrescibles. Les ponts sur le Scorff et le Blavet se substituent aux bacs des passeurs. En 1909, Lanester se sépare de Caudan et devient commune à part entière. La période 1939-1945 est douloureuse pour les Lanestériens contraints à l'exil. Le recensement approximatif effectué en février 1945 fait état de la présence de 185 civils seulement à Lanester. La ville est sérieusement endommagée par les bombardements : 77% des bâtiments sont détruits ou abîmés. Les années 1950 sont celles de la reconstruction et des grandes mutations. La ville voit sa démographie connaître une forte hausse : on dénombre 14 000 Lanestériens, en 1958.


À voir :

  • Le parc du Plessis. Espace vert de 12 hectares, le domaine abritait le château du Plessis, détruit pendant la guerre. Le public y découvre des arbres centenaires, un étang aménagé, un parcours sportif, un boulodrome.
  • L'anse de Kerhervy sur le Blavet abrite un cimetière de bateaux où reposent notamment des thoniers de l'île de Groix. Un théâtre de plein air y a été aménagé par la commune.
  • Le parc à bois de Saint-Isidore est un vestige du système de conservation aquatique du bois destiné aux chantiers navals.
  • Le pont du Bonhomme. Sur les piles de l'ancien pont, deux statues en bois se faisaient face : le "bonhomme" côté Kervignac figurant le passeur d'autrefois, et la "bonne femme" sur la rive de Lanester lui tendant sa tabatière.






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